WEC avec Flo
J1 : Cabanes de Quioules et de Béla - 19 kms 900 m D+
Nous voila donc partis du parking de la centrale de Laparan, Flo et moi, avec comme objectif le pic de la Sabine.
Dans la montée vers le pas de la Crabe, il "crachouille", mais la météo ayant annoncé des éclaircies dans l'après midi, nous restons confiant pour la suite.
Arrivés à la cabane de Quioulès (1611m), l'éclaircie prévue n'ayant pas l'air d'arriver, bien au contraire !
Nous abandonnons notre projet de monter au pic de la Sabine ( non balisé, pas d'autres randonneurs, brouillard, pluie, froid et surtout la quasi certitude de ne pas pouvoir profiter du paysage !).
Nous décidons de poursuivre jusqu'à la cabane de la Sabine puis aviser !
Nous loupons la bifurcation qui doit nous y mener et nous retrouvons dans un vallon orienté plein sud..
Nous atteignons une cabane qui n'est pas mentionné sur ma carte (nous apprendrons qu'il s'agit de la cabane de Bella, récemment restaurée).
J2 : Port de Fontargente - Collada de Joclar - Crête des Isards - 25 kms 1800 m D+
C'est effectivement une belle journée qui s'annonce : plus un nuage et un beau sourire sur nos visages à l'idée de ce qui nous attend.
Ce qui nous attend, c'est pour commencer, 3kms de piste fastidieux sur laquelle nous alternons footing et marche rapide, pour rejoindre le pla de Las Peyre, véritable point de départ.
Le sentier, de nouveau balisé, nous ramène en une trentaine de minutes à notre point de départ, conclusion d'une très belle journée qui nous aura permis d'en prendre plein les yeux mais également quelques couleurs.
Nous voila donc partis du parking de la centrale de Laparan, Flo et moi, avec comme objectif le pic de la Sabine.
Dans la montée vers le pas de la Crabe, il "crachouille", mais la météo ayant annoncé des éclaircies dans l'après midi, nous restons confiant pour la suite.
En redescendant du pas de la Crabe, sur la passerelle, nous découvrons quelques belles "marmites" propices à la baignade ! Mais ce sera pour un autre jour
car le crachin s'est transformé en pluie fine!
Le sentier, malgré l'absence de balisage, est évident pour l'instant.
En remontant la jasse de Rampes, nos chaussures se gorgeront d'eau...
En remontant la jasse de Rampes, nos chaussures se gorgeront d'eau...
Arrivés à la cabane de Quioulès (1611m), l'éclaircie prévue n'ayant pas l'air d'arriver, bien au contraire !
Nous abandonnons notre projet de monter au pic de la Sabine ( non balisé, pas d'autres randonneurs, brouillard, pluie, froid et surtout la quasi certitude de ne pas pouvoir profiter du paysage !).
Nous décidons de poursuivre jusqu'à la cabane de la Sabine puis aviser !
Nous loupons la bifurcation qui doit nous y mener et nous retrouvons dans un vallon orienté plein sud..
Nous atteignons une cabane qui n'est pas mentionné sur ma carte (nous apprendrons qu'il s'agit de la cabane de Bella, récemment restaurée).
Nous continuons notre progression qui devient particulièrement pénible : pas de sentier franchement marqué, une visibilité qui diminue et la température qui chute.
Vers 1900 m, le vent se met de la partie, et malgré notre équipement, le froid commence à se faire sentir.
"Circulez, y a rien à voir" comme disait Coluche. Alors on circule !
Vers 1900 m, le vent se met de la partie, et malgré notre équipement, le froid commence à se faire sentir.
"Circulez, y a rien à voir" comme disait Coluche. Alors on circule !
Direction la cabane de Bela pour la pause casse croute à l'abri du vent.
Nous regrettons de ne pas avoir de briquet pour y faire une petite flambée!
Nous regrettons de ne pas avoir de briquet pour y faire une petite flambée!
Le retour se fait sur un rythme qui nous permet de nous réchauffer, mais sans grand plaisir.
Nous nous promettons néanmoins de revenir dans cette vallée sauvage à souhait.
La soirée se passera, sur les rives de l'étang de Laparan, "au coin du feu", à l'abri du auvent de notre campingcar :
Nous nous promettons néanmoins de revenir dans cette vallée sauvage à souhait.
La soirée se passera, sur les rives de l'étang de Laparan, "au coin du feu", à l'abri du auvent de notre campingcar :
en espérant un lendemain plus radieux!
J2 : Port de Fontargente - Collada de Joclar - Crête des Isards - 25 kms 1800 m D+
C'est effectivement une belle journée qui s'annonce : plus un nuage et un beau sourire sur nos visages à l'idée de ce qui nous attend.
Ce qui nous attend, c'est pour commencer, 3kms de piste fastidieux sur laquelle nous alternons footing et marche rapide, pour rejoindre le pla de Las Peyre, véritable point de départ.
Une fois la passerelle franchie, la pente se durcie avec en contre bas, la jasse de Pinet qui miroite sous le soleil.
Le Malpas contourné, nous atteignons rapidement les étangs de Fontargente, que nous contournons
pour progresser en direction du port de Fontargente :
Au col, nous basculons côté andorran, direction le camping d'Inclès :
Vers 2000m, un sentier balisé de peinture fraiche en GR, et qui part en montant sur la gauche, attire l'œil de Flo.
Ce sentier n'est pas mentionné sur ma carte : il doit s'agir d'un itinéraire récent qui contourne l'Alt de Juclar, évitant la piste-route du camping d'Inclès !
Nous avons du temps devant nous...Alors allons-y !
Le sentier, très raide dans cette première partie, n'a pas du être souvent emprunté !
Heureusement que le balisage est parfait, sinon, nous aurions été contrains de faire demi-tour.
Ce sentier n'est pas mentionné sur ma carte : il doit s'agir d'un itinéraire récent qui contourne l'Alt de Juclar, évitant la piste-route du camping d'Inclès !
Nous avons du temps devant nous...Alors allons-y !
Le sentier, très raide dans cette première partie, n'a pas du être souvent emprunté !
Heureusement que le balisage est parfait, sinon, nous aurions été contrains de faire demi-tour.
Ca grimpe sec, le rythme est au ralenti dans cette portion;
Nous débouchons sur un collet, premier ressaut d'une longue série.
Traversées, pelouses, laquets, pierriers s'enchainent sur cet itinéraire vraiment sauvage
et vraiment magnifique : à recommander ; nous ne regrettons vraiment pas notre décision .
Nous retrouvons la "civilisation" lorsque nous rejoignons l'itinéraire traditionnel qui monte du camping d'Inclès à l'estany de Joclar.
Et encore une grimpette pour passer la collada de Juclar (2451m) et retraverser la frontière.
Nous entamons notre descente qui nous amène aux abords de l'étang de Joclar que nous contournons péniblement (du bloc, que du bloc...)
Le refuge de Ruhle, prochain objectif est désormais en vue, au loin.
La descente, très raide, se poursuit, dans un chaos de rocher où la pose de pied demande vigilance et concentration :
Le terrain reste très "technique" et ne nous permettra guère de courir.
Nous faisons la pause casse croute sur la rive de l'Estagnol. Nous sentons bien le soleil nous cuire les cuisses et les bras !
Mais bon, on ne va quand même pas ce plaindre du beau temps !
Nous remontons vers le refuge de Ruhle,
Nous faisons la pause casse croute sur la rive de l'Estagnol. Nous sentons bien le soleil nous cuire les cuisses et les bras !
Mais bon, on ne va quand même pas ce plaindre du beau temps !
Nous remontons vers le refuge de Ruhle,
puis vers le col de Terre Nègre (2304m), avec en arrière plan, le port de Fontargente.
En nous dirigeant vers le col de Belh, nous découvrons toute la ligne de crête que nous allons parcourir :
La crête des Isards (nous n'en verrons pas la queue d'un !) est une succession de franchissements
en balcon du vallon du Riutort
sans difficulté et parfaitement balisé; Superbe itinéraire de retour pour nous.
Le moment vient de tracer droit vers le col de la Didorte (2304m)
avant de plonger droit dans la pente vers la cabane du Rieutort :
Le sentier, de nouveau balisé, nous ramène en une trentaine de minutes à notre point de départ, conclusion d'une très belle journée qui nous aura permis d'en prendre plein les yeux mais également quelques couleurs.