Saint-Barthélemy en boucle
C'est sous un ciel maussade que nous partons du parking d'Appy pour cette virée qui s'avérera faire une vingtaine de km pour environ 1800 m D+.
Plutôt que de suivre le topo habituel, nous avons décidé de tenter une boucle inédite passant par Axiat.
Les 2 premiers kms se font en trottinant jusqu'à Axiat sur un large chemin verdoyant et légèrement descendant.
Plutôt que de suivre le topo habituel, nous avons décidé de tenter une boucle inédite passant par Axiat.
Les 2 premiers kms se font en trottinant jusqu'à Axiat sur un large chemin verdoyant et légèrement descendant.
Nous attaquons la montée sur un chemin non balisé mais bien marqué.
La chaleur, lourde, se fait vite ressentir. Dès que l'occasion se présente, je mouille ma casquette dans le torrent.
La chaleur, lourde, se fait vite ressentir. Dès que l'occasion se présente, je mouille ma casquette dans le torrent.
Une fois la piste forestière atteinte et traversée, nous nous retrouvons sous l'agréable couvert végétal du bois des Estallades.
La montée est régulière, le rythme est bon et c'est en 1h30 que nous atteignons la cabane de la jasse de Sédars.
La montée est régulière, le rythme est bon et c'est en 1h30 que nous atteignons la cabane de la jasse de Sédars.
Le col de Girabal est en vue. Mais nous décidons de tenter de rejoindre le chemin situé sur la crête sud du Saint-Barthélemy.
Nous traçons donc hors sentier dans sa direction en essayant de gagner un peu de dénivelé.
Au loin, la silhouette d'un randonneur se détache, signe que le sentier n'est plus très loin.
Au loin, la silhouette d'un randonneur se détache, signe que le sentier n'est plus très loin.
La pente, sur le sarrat de Bertenac, se redresse sérieusement, le rythme en pâtit.
Le pic de Bugarels atteint, nous apercevons enfin le sommet convoité
et c'est 2h50 après notre départ que nous découvrons le panorama qui nous est offert.
Mais en ce jour férié, il y a beaucoup de monde...Nous ne nous attardons donc pas et préférons continuer notre route.
Tout d'abord descendre au col de Girabal
Tout d'abord descendre au col de Girabal
puis remonter au pic de même nom.
La fatigue se fait sentir, les jambes flageolent et la tête commence à tourner : le temps est venu de faire la pause casse-croute-repos.
J'en profite pour observer la ligne de crête jusqu'au pic Galinat : peu engageante , je ne suis pas chaud pour m'y engager. Flo, elle, est d'avis de tenter de passer, quitte à faire demi-tour.
Bien reposés, nous descendons au col de l'étang d'Appy et commençons à remonter des blocs quand un cairn attitre notre regard vers une sente qui semble passer sous les barres rocheuses du roc noir : nous nous y engageons. C'est Flo qui part en éclaireuse et m'indique si "ça passe" ou non . La sente file à peu près à l'horizontale et, sans être vraiment dangereuse, nécessite de la vigilance.
Bien reposés, nous descendons au col de l'étang d'Appy et commençons à remonter des blocs quand un cairn attitre notre regard vers une sente qui semble passer sous les barres rocheuses du roc noir : nous nous y engageons. C'est Flo qui part en éclaireuse et m'indique si "ça passe" ou non . La sente file à peu près à l'horizontale et, sans être vraiment dangereuse, nécessite de la vigilance.
C'est juste avant le dernier ressaut que nous remontons vers un collet pour prendre pied sur la crête.
Nous ne nous attardons pas non plus sur le pic de Galinat et son abominable antenne...
Nous filons droit vers le pic du Han.
Nous filons droit vers le pic du Han.
Au col de la cadène, le ciel se charge de nuages annonciateurs d'orages..Nous laissons donc de côté l'idée de monter au sommet du pic du Han et prenons la direction du retour.
Nous déroulons une petite foulée sur ce beau monotrace
jusqu'à l'aplomb de l'étang d'Appy...
Le final, sans difficulté, nous donnera l'occasion d'observer une famille de mouflons...