Trail des Coteaux Bellevue
C'est à 2 pas de notre domicile que les sympathiques "zinzins des coteaux" organisaient le 1er trail des coteaux Bellevue. Pour une fois où il nous était possible de rallier une ligne de départ sans utiliser la voiture, nous ne pouvions pas manquer cet évènement.
Inscrits initialement sur la distance de 11 kms, Flo et moi décidons au dernier moment de basculer sur le 20 km, histoire de profiter un peu plus des paysages transformés par la météo du jour.
Photo Mélanie
Nous retrouvons Mélanie et Thomas
ainsi que Romain (inscrit sur le 11)
Il fait particulièrement froid et il nous tarde de commencer à courir.
Nous sommes surpris de voir que pratiquement 200 concurrents sont au départ de ce trail "blanch" (les routes sont impraticables) dont environ 130 sur le 20 kms.
Le départ est donc donné et le rythme est plutôt soutenu, il faut dire que le parcours est particulièrement roulant ( 300 m de dénivelé !)
Le départ est donc donné et le rythme est plutôt soutenu, il faut dire que le parcours est particulièrement roulant ( 300 m de dénivelé !)
Je me retrouve rapidement aux côtés de Thomas avec qui nous ferons chassé-croisé pendant une bonne partie de la course
Le peloton s'étire petit à petit
Alternance de pistes et de monotraces
L'ambiance du jour est de type "polaire"
Tout va bien pour moi; je commence même à me dire que je pourrai accélérer un peu sur la deuxième partie du parcours.
Quelques petites côtes à franchir
Nous croisons même des "snowboarders" en hors piste ( le risque d'avalanche est faible )
Thomas est dans ma trace
Il ne tarde pas à me repasser devant.
Peu après le ravitaillement, je reviendrai à sa hauteur. Sur la partie roulante rejoignant Montberon, j'augmenterai mon allure, doublant quelques concurrents avant d'être stoppé net par un point de côté fulgurant, comme un coup de poignard dans les cotes.
Arrêt de 3-4 minutes, puis marche pendant 5 min : le temps de voir passer de nombreux concurrents ( une trentaine ); Je suis un peu dégouté et je ne comprend pas l'origine de ce point de côté.
Je repart néanmoins, et essaye de rattraper le temps perdu dans la longue ligne droite qui mène à la forêt de Pechbonnieu; je repasse quelques concurrents.
Les chemins dans la forêt sont boueux et très glissants, m'obligeant à lever le pied.
Pas trop grave, me dit-je, pensant faire les 2 derniers kms à bloc.
Au sortir de la forêt, dernière côte puis la route : je relance, j'accélère mais très rapidement, je sens ce foutu point de côté revenir m'obligeant à contrôler mon souffle et à vider complétement mes poumons;
Le finish se fait donc au ralenti et je passe la ligne en 2h02m50s, un peu déçu de n'avoir pas eu de bonnes sensations.
Il ne me reste plus qu'à attendre Flo, qui franchi courageusement ( pratiquement sans entrainement) la ligne quelques minutes plus tard
Arrêt de 3-4 minutes, puis marche pendant 5 min : le temps de voir passer de nombreux concurrents ( une trentaine ); Je suis un peu dégouté et je ne comprend pas l'origine de ce point de côté.
Je repart néanmoins, et essaye de rattraper le temps perdu dans la longue ligne droite qui mène à la forêt de Pechbonnieu; je repasse quelques concurrents.
Les chemins dans la forêt sont boueux et très glissants, m'obligeant à lever le pied.
Pas trop grave, me dit-je, pensant faire les 2 derniers kms à bloc.
Au sortir de la forêt, dernière côte puis la route : je relance, j'accélère mais très rapidement, je sens ce foutu point de côté revenir m'obligeant à contrôler mon souffle et à vider complétement mes poumons;
Le finish se fait donc au ralenti et je passe la ligne en 2h02m50s, un peu déçu de n'avoir pas eu de bonnes sensations.
Il ne me reste plus qu'à attendre Flo, qui franchi courageusement ( pratiquement sans entrainement) la ligne quelques minutes plus tard
puis aller se "consoler" autour d'une galette et d'un verre de cidre.